[Débat n°4] L'euthanasie
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[Débat n°4] L'euthanasie
Bonjour,
Débat numéro 4 sorti de mon esprit nébuleux...
Droit à la vie, à la mort, où est la limite ? Quelles sont vos positions ?
Débat numéro 4 sorti de mon esprit nébuleux...
Droit à la vie, à la mort, où est la limite ? Quelles sont vos positions ?
Re: [Débat n°4] L'euthanasie
Mon opignon c'est que chaque être à droit à la vie tant qu'il est en bonne santé, donc les "meurtriers" qu'on euthanasie je trouve que c'est une issue trop facile pour eux, une souffrance de plus pour leur famille, dans ce cas là je suis contre. Par contre pour les personnes en fin de vie/atteintes d'une maladie grave a qui il ne reste pas beaucoup de temps à vivre et qui souffrent là je suis d'accord de les laisser partir pour abréger leur souffrances.
Natsukie- Calamard Glavioteur
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Re: [Débat n°4] L'euthanasie
En même temps, l'euthanasie, ce n'est pratiqué qu'en cas de maladie incurable pour abréger les souffrances. (la première partie de ta réponse ne concerne donc que la peine de mort).
L'euthanasie pour ou contre? Plutôt pour et contre. Tout est une question de limite et d'encadrement. Comment définir une limite nette et précise sur les souffrances endurées?
Fondamentalement, si quelqu'un sait qu'il va mourir, qu'il ne peut plus vivre sans souffrir constamment, et qu'il ne peut plus vivre tout court, alors oui, l'euthanasie peut être une solution. Seulement, elle ne sera autorisée que dans des cas bien précis et comment dire "celui là on lui permet de mourir, et celui là non?", bref comment mesurer la souffrance? Comment expliquer à un malade que lui ne pourra pas être libéré de sa souffrance alors que d'autres le peuvent?
Et à l'inverse, comment éviter les abus? Il existe déjà des cas de personnes voulant "aider" des personnes malades en abrégeant leurs souffrances, alors que ce dernières n'ont pas donner leur accords. Trouveront-elles une nouvelle légitimité à leurs actes?
Comment savoir si la maladie ou la souffrance n'altère pas les facultés mentales de décisions du patient?
Si la réponse semble être positive, il faudrait y apporter beaucoup de rigueur, ce qui pourrait par ailleurs sembler injuste.
Cette une question fort délicate à laquelle il faudrait une réponse mesurée.
L'euthanasie pour ou contre? Plutôt pour et contre. Tout est une question de limite et d'encadrement. Comment définir une limite nette et précise sur les souffrances endurées?
Fondamentalement, si quelqu'un sait qu'il va mourir, qu'il ne peut plus vivre sans souffrir constamment, et qu'il ne peut plus vivre tout court, alors oui, l'euthanasie peut être une solution. Seulement, elle ne sera autorisée que dans des cas bien précis et comment dire "celui là on lui permet de mourir, et celui là non?", bref comment mesurer la souffrance? Comment expliquer à un malade que lui ne pourra pas être libéré de sa souffrance alors que d'autres le peuvent?
Et à l'inverse, comment éviter les abus? Il existe déjà des cas de personnes voulant "aider" des personnes malades en abrégeant leurs souffrances, alors que ce dernières n'ont pas donner leur accords. Trouveront-elles une nouvelle légitimité à leurs actes?
Comment savoir si la maladie ou la souffrance n'altère pas les facultés mentales de décisions du patient?
Si la réponse semble être positive, il faudrait y apporter beaucoup de rigueur, ce qui pourrait par ailleurs sembler injuste.
Cette une question fort délicate à laquelle il faudrait une réponse mesurée.
sanitarium- Calamard Glavioteur
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