L'unique noir
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L'unique noir
courage c'est moin long que ça n'en a l'air puis ça vaut le coup ^^
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L’unique noir
La mort estompe l’espoir mais nous pardonnes nos souvenirs
Mais les regrets eux restes profondément gravés sur le crâne,
Sous cette tombe et ces déchets sombres rongés par les vers,
L’aura de l’âme transpercé évaporé, dispersé par la terre,
Un frisson trop froid, qu’il n’y a plus de rêves de flammes,
Si la fleur est déposée, le film en noir et blanc ne se déchire.
La vie n’est que l’illusion de ce que l’on veux être,
Et jamais on ne serras ce rêve d’auto perfection,
Jamais l’on ne pourra jouir aussi fort que ce vent,
Et devant ma propre tombe je crache sur le temps,
Ce qui ma laisser croire à certaine réflexions,
Le sens n’est pas ici, l’essence tendait à disparaître.
Une mélodie qui reste sans que l’on sache pourquoi,
A vouloir effacer on creuse plus profond encore,
Et les plais encore ouvertes se remplissent d’acide,
Le pue rempli les gouttières, et notre terre aride,
Se vide de ce que l’on imagine, et croire plus fort,
Croire quoi, pour aller où, pour deviner quel choix ?
C’est un cimetières plein d’os, et puis quoi d’autre,
Ne pleure pas sur ta fleur, le temps ne changera pas,
Continue de respirer, et puis le noir ferra le reste,
Et tant j’ai marché, tant l’on m’a comparé à la peste,
Tout le monde n’est rien avec une goutte de choix,
Je suis l’ombre derrière le réverbère, pas de ta faute.
Le trou est bien trop grand pour moi, c’est trop luxueux,
La souffrance éternel était le seul but de ma sale vie,
Que si je te dit oui rien ne t’inquiétera plus ce jour,
Que je me regarde gravée sur ce tombeau sourd,
Une date, un nom mais moi qui sais nos pluies,
Remet un peut de terre je ne respire pas, toi l’heureux.
L’unique noir qui tourne et retourne sous mon arbre pleureur,
Je suis debout devant la pierre qui reste le souvenir béant,
Souvenir de ce que je n’ai jamais été, façade bien contrôlée,
Un signe des étoiles, elle sais que je ne suis pas si filante dorée,
Recouvre encore un peut, je ne respire pas ce souvenir géant,
Et l’air n’est pas si pur il ne l’a jamais été, rend moi de ta sueur.
La mort estompe l’espoir mais nous pardonnes nos souvenirs
Mais les regrets eux restes profondément gravés sur le crâne,
Sous cette tombe et ces déchets sombres rongés par les vers,
L’aura de l’âme transpercé évaporé, dispersé par la terre,
Un frisson trop froid, qu’il n’y a plus de rêves de flammes,
Si la fleur est déposée, le film en noir et blanc ne se déchire.
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